mardi 17 janvier 2017

Extrait numéro 6

Bonjour, 

Après de nombreuses tentatives infructueuses hier soir, je vous poste (depuis la fac!) ce nouvel extrait.
Comme je vous l'ai dit dans mon message précédent, dites-moi franchement ce que vous en pensez, je ne suis pas convaincue.
Merci et bonne lecture.

__________

Avant qu’il ne demande un nouveau verre de vin, je me lance sur le pourquoi de sa venue.
    - Je sais que tu préférais qu’on soit tranquille pour parler de cela, alors je te propose maintenant qu’on regarde les clauses du contrat et qu’on le signe. Tu gardera un exemplaire, j’en garderai un aussi. c’est assez technique, alors il vaut mieux qu’on s’y mette maintenant. Tu veux un nouveau verre ?
    - Un soda s’il te plaît, je n’ai jamais signé de contrat en étant ivre, je ne veux pas commencer avec toi.
Je le regarde, surprise, puis me lèvre pour prendre deux sodas. Je lui tends son verre, et je remarque qu’il a déjà sorti le contrat, un stylo, et qu’il a repris son attitude d’homme d’affaire.
    - Bien, dis-je en rabattant mes jambes sur le canapé. Pour commencer, les clauses. Sache que ce contrat n’a pas de légalité propre, c’est juste un contrat entre nous. Si jamais il y a un litige, tu ne pourras pas l’utiliser devant un tribunal ou pour demander réparation. Bien entendu, si je ne suis pas à la hauteur de tes espérances, tu as le droit de me révoquer, il faut seulement que tu me paie les journées passées en ta compagnie. Jusqu’ici, tout vas bien ?
Nicolas me regarde et m’invite à poursuivre.
    - Je tenais donc à te préciser les limites de ce contrat. Premièrement, je suis ce qu’on pourrait appeler une dame de compagnie. Je suis ici pour te conseiller, te faire des proposition de cadeau, te coacher pour séduire une femme, mais en aucun cas pour une relation sexuelle rémunérée. Je ne suis pas ce genre de femme, tu comprend ?
Nicolas est aussi rouge qu’une tomate.
    - Bien entendu, cela va de soit, dit-il gêné. Continue, s’il te plaît.
    - Donc aucune relations sexuelle rémunérée. s’il s’avère que tu as besoin de ce genre de choses, j’ai des contacts. Mais nous ne sommes pas là pour ça. Sur le contrat, il nous faut noter la date de la réception, la date à laquelle tu as le plus besoin de moi.
Nicolas et moi débouchons nos stylos en même temps et mettons la date du 8 juin.
    - Ensuite, dis-je en poursuivant, il nous faut mettre nos noms et signer le contrat. Relis le bien avant de signer, c’est ta dernière chance de reculer.
Je venais de dire cette dernière phrase sur le ton de la rigolade. Mais lui ne le prit pas ainsi.
    - Je ne veux pas que notre collaboration s’arrête. j’aimerais ajouter une clause dans le contrat, si tu es d’accord. Disons plutôt un arrangement.
Intriguée, je me rapproche de lui et l(invite à poursuivre.
    - Voilà, dit-il en se tortillant sur le sofa. Je veux bien signer en échange d’une condition. Si tu remplit ton contrat, et même si tu ne le remplis pas, je veux que tu acceptes de travailler pour moi à plein temps. Je sais que tu as besoin de ce travail, et je suppose que cette activité annexe ne te réjouis pas, je le vois bien.
    - Tu as raison, dis-je démasquée. Je me suis toujours promis que, si je trouvais un travail, j’arrêtais l’escorte. Mais on ne m’a jamais laissé ma chance. Alors je n’ai pas encore penser à arrêter.
    - Alors accepte !
Il se précipita à mes côtés et prit mes mains dans les siennes. Je n’arrivais pas à me détacher de son regard bleu azur, plein de folie.
    - Accepte de travailler avec moi et quitte ce travail dégradant. Tu es faite pour travailler dans les affaires. Et je ne dis pas que tu n’es pas douée dans ce que tu fais, dit-il en se calmant. Mais, je te donne une chance de trouver un autre travail, honnête et pour lequel tu es fais. Alors, je t’en supplie : accepte mon offre. Sinon je ne signe pas le contrat.
Sa petite menace me fis sourire. Même s’il ne m’avait pas menacé de ne pas signer le contrat, j’aurais accepté son offre. Mais le devais-je ?
    - C’est d’accord, dis-je sans réfléchir. Je veux bien continuer de travailler pour toi, et je quitterais mon boulot d’escorte. Seulement quand ma période d’essai sera finie. Mais ne t’en fais pas : je ne prend qu’un client à la fois.
Nicolas sauta sur place, heureux comme un diable. Son cri de joie réveilla Titan qui joignit sa voix à la sienne.
Puis il se rassit et, sans crier gare, m’attrapa la tête et posa ses lèvres sur les miennes.

Pour cette suite, ce n'est pas très claire, je vous poste de suite le reste qui lui mérite commentaires.

L'envie d'écrire

lundi 16 janvier 2017

Encore en attente

Bonjour à toutes et à tous, 

Je sais que je ne respecter pas mes résolutions de la nouvelle année, c'est à dire publier tous les deux jours.

Mais avec les cours, mon concours qui approche et les examens, j'ai pas eu beaucoup le temps.

Mais je vous publie la suite ce soir. Par contre, j'ai besoin de vos commentaires : en effet, je l'ai ré-écrite au moins trois fois mais je ne la trouve pas top.
Les chapitres précédants, c'était déjà écrit depuis quelques temps. Là c'est resque du direct mdr.

Donc j'aurais vraiment besoin de vos commentaires pour changer ou m'aider à avancer.

Bonne fin de journée et à tout à l'heure !!


L'envie d’écrire

mardi 3 janvier 2017

Extrait numéro 5

Bonjour de nouveau, 

Comme promis ce matin je vous poste maintenant l'extrait numéro 5.
Bonne lecture !


__________

Voir le PDG d’une grande entreprise de transport dans mon modeste salon fait paraître mon appartement trop petit pour lui. J’ai soudain honte de la déco, et même de mon plaid qui est étendu sur le canapé. 

- Si tu veux, il y a du vin dans la cave à vin à côté du frigo, où il y a des sodas et de la bière dans la porte du réfrigérateur. Sers-toi, fais comme chez toi, je fais au plus vite.

   Nicolas ne fais que regarder la déco de mon appartement, alors que je me dirige vers la salle de bain. Dans mon champ de vision, j’aperçois Titan qui suit mon patron comme son ombre. Avec un sourire aux lèvres, je vais chercher une tenue décontractée et me rend dans la salle de bain.
   L’eau chaude me permet de me nettoyer de l’activité de ce début de soirée mais il me fait prendre conscience d’une chose : Nicolas, mon patron et mon client, est dans mon appartement. S’il n’avait été que mon client, il n’aurait jamais connu son existence. S’il n’avait été que mon patron, et qu’il tombait sur mes mails, je ne donnerais pas cher de ma peau. Prise de panique, je me dépêche de sortir de la douche et de m’habiller : un débardeur noir, un jeans « slim » bleu, un ensemble de lingerie en dentelle et des ballerines. Une tenue plutôt classique.
   En entrant dans le salon, je suis prise d’un fou rire : Nicolas et Titan se regardent dans le blanc des yeux. Je me crois donc au théâtre avec dans le rôle d’Hamlet Nicolas et dans le rôle du crâne Titan. En m’entendant glousser, Titan se détourne de son potentiel casse-croûte et trottine vers moi.
   Nicolas s’approche également.

- Au moins, avec une bête pareille, tu es sûre d’être en sécurité la nuit ou dans la rue. C’est vraiment une belle bête. Depuis combien de temps l’as-tu ?

- Titan est avec moi depuis deux ans maintenant. Je l’ai recueilli dans un refuge, en banlieue. Et ne crois pas qu’il serait capable de me protéger : si un cambrioleur venait à entrer chez moi avec un os à moelle, je sais déjà où ira sa fidélité.

   Nous rions ensemble alors que Titan sait qu’on parle de lui. Il gambade dans l’appartement, heureux comme un chiot. Nicolas s’approche un peu plus et sort de sa veste une enveloppe kraft.

- Je sais que tu voulais aller sans un bar, mais je préférerais que cela se fasse dans le plus grand secret. Je n’ose imaginer si les japonais apprenaient que j’ai engagé une personne comme toi pour m’accompagner…

   Je ne réagis pas à la remarque, puisque je la trouve justifiée. Cependant, comprenant son erreur, il plaque soudain sa main devant sa bouche et prend un air contrit.

- Je suis vraiment désolée, je ne voulais pas dire ça… Enfin pas de cette façon… Excuse-moi…
   Je le laisse s’empourprer, pour la forme, puis je lui touche le dos de la main.

- Tu sais, je sais vivre avec ça. Je n’ai pas besoin de ta sollicitude. Je sais très bien pourquoi tu m’as engagé, en tant qu’escort. Seulement, je ne vois pas pourquoi tu m’as embauché en tant qu’agent logistique. Alors est-ce qu’on pourrait en parler, s’il te plaît ?

   J’arrive à le mettre un peu plus à l’aise, mais il garde son air contrit.

- En réalité, je trouve que tu as beaucoup les compétences requises pour ce travail. Je t’assure que ça n’a rien avoir avec le fait que tu es, d’une certaine façon, mon agent de liaison dans un tout autre contrat.

   Cette fois-ci c’est à moi de rougir.

- Mais, je dois avouer que j’ai été surpris quand j’ai vu que c’était toi, la jeune femme que je devais rencontrer pour l’entretien. Et je vais te faire une confidence.

   Nicolas se décale un peu sur le canapé pour s’approcher de moi.

- J’étais de très mauvaise humeur quand je suis sorti de ma réunion. Puis quand je t’ai vu dans ce bar, tu as éclairé ma journée. Et en te voyant dans mon bureau, j’étais perplexe et un peu énervé. Mais je me suis rendu compte que c’était le stress qui me faisait régir de la sorte, et non tes compétences professionnelles. Et je voulais m’excuser, pour cela.

   Nicolas et moi ne sommes que séparés de quelques centimètres. Le rouge nous monte aux joues mais, avant de faire une bêtise, je détourne le regard et me dirige vers la cave à vin.

- Je ne t’en veux pas. Il faut dire que j’aurais régi de la même façon je pense. Un peu de vin blanc ?

   Nicolas acquiesce, déçu de la fin de cet échange. Je m’acharne à ouvrir la bouteille, sers deux verres, puis reviens vers le canapé. Titan est endormi sur son panier, un léger ronflement sort de ses babines.

- Je ne voulais surtout pas que tu te méprenne et que tu me prennes pour.. eh bien, disons le salopard de service, dit-il en saisissant son vin. Je ne suis pas non plus un manipulateur.

- Pas comme Nathalie…

Ces mots m’étaient sortis comme ça, une pensée fugace. Nicolas penche la tête sur le côté et ne fais que soupirer.

- Comme tu dis. Nathalie n’a jamais apprécié mes collaboratrices, ni même les hommes. Elle doit croire que je pourrais être attiré par les hommes autant que par les femmes ; elle a déjà réussi à faire changer de postes trois de mes collaborateurs, des deux sexes. Elle est juste très attachée à moi, comme une mère. À moins que cela n’aille plus loin, mais je ne me focalise pas là-dessus. Tout ce que je veux d’elle, c’est un travail exemplaire. Tout comme le tien. Tes notes étaient parfaites, cela nous aidera beaucoup pour l’organisation de la réception.

   Je le remercie et prends une grande gorgée de vin, pour me calmer. j’ai encore en tête le ton cassant que Nathalie a pris devant moi. Elle faisait comme si j’étais une domestique. Cela m’insupportais toujours quand mon père prenait ce ton avec ses employés.

- Au moins, on sait qu’elle ne te trahira pas pour cette présentation. Elle tient beaucoup trop à toi pour gâcher ta soirée de signature.

   Nicolas tourna la tête vers moi et sourit. Nous buvons notre verre de vin en parlant de nos vies respectives. Une fois nos verres finis, je me lance sur le contrat qui m’intéresse le plus.Voir le PDG d’une grande entreprise de transport dans mon modeste salon fait paraître mon appartement trop petit pour lui. J’ai soudain honte de la déco, et même de mon plaid qui est étendu sur le canapé. 

- Si tu veux, il y a du vin dans la cave à vin à côté du frigo, où il y a des sodas et de la bière dans la porte du réfrigérateur. Sers-toi, fais comme chez toi, je fais au plus vite.

   Nicolas ne fais que regarder la déco de mon appartement, alors que je me dirige vers la salle de bain. Dans mon champ de vision, j’aperçois Titan qui suit mon patron comme son ombre. Avec un sourire aux lèvres, je vais chercher une tenue décontractée et me rend dans la salle de bain.
   L’eau chaude me permet de me nettoyer de l’activité de ce début de soirée mais il me fait prendre conscience d’une chose : Nicolas, mon patron et mon client, est dans mon appartement. S’il n’avait été que mon client, il n’aurait jamais connu son existence. S’il n’avait été que mon patron, et qu’il tombait sur mes mails, je ne donnerais pas cher de ma peau. Prise de panique, je me dépêche de sortir de la douche et de m’habiller : un débardeur noir, un jeans « slim » bleu, un ensemble de lingerie en dentelle et des ballerines. Une tenue plutôt classique.
   En entrant dans le salon, je suis prise d’un fou rire : Nicolas et Titan se regardent dans le blanc des yeux. Je me crois donc au théâtre avec dans le rôle d’Hamlet Nicolas et dans le rôle du crâne Titan. En m’entendant glousser, Titan se détourne de son potentiel casse-croûte et trottine vers moi.
   Nicolas s’approche également.

- Au moins, avec une bête pareille, tu es sûre d’être en sécurité la nuit ou dans la rue. C’est vraiment une belle bête. Depuis combien de temps l’as-tu ?

- Titan est avec moi depuis deux ans maintenant. Je l’ai recueilli dans un refuge, en banlieue. Et ne crois pas qu’il serait capable de me protéger : si un cambrioleur venait à entrer chez moi avec un os à moelle, je sais déjà où ira sa fidélité.
   Nous rions ensemble alors que Titan sait qu’on parle de lui. Il gambade dans l’appartement, heureux comme un chiot. Nicolas s’approche un peu plus et sort de sa veste une enveloppe kraft.

- Je sais que tu voulais aller sans un bar, mais je préférerais que cela se fasse dans le plus grand secret. Je n’ose imaginer si les japonais apprenaient que j’ai engagé une personne comme toi pour m’accompagner…

   Je ne réagis pas à la remarque, puisqu’elle est justifiée. Cependant, comprenant son erreur, il plaque soudain sa main devant sa bouche et prend un air contrit.

- Je suis vraiment désolée, je ne voulais pas dire ça… Enfin pas de cette façon… Excuse-moi…

   Je le laisse s’empourprer, pour la forme, puis je lui touche le dos de la main.

- Tu sais, je sais vivre avec ça. Je n’ai pas besoin de ta sollicitude. Je sais très bien pourquoi tu m’as engagé, en tant qu’escort. Seulement, je ne vois pas pourquoi tu m’as embauché en tant qu’agent logistique. Alors est-ce qu’on pourrait en parler, s’il te plaît ?
   J’arrive à le mettre un peu plus à l’aise, mais il garde son air contrit.

- En réalité, je trouve que tu as beaucoup les compétences requises pour ce travail. Je t’assure que ça n’a rien avoir avec le fait que tu es, d’une certaine façon, mon agent de liaison dans un tout autre contrat.

   Cette fois-ci c’est à moi de rougir.

- Mais, je dois avouer que j’ai été surpris quand j’ai vu que c’était toi, la jeune femme que je devais rencontrer pour l’entretien. Et je vais te faire une confidence.

   Nicolas se décale un peu sur le canapé pour s’approcher de moi.

- J’étais de très mauvaise humeur quand je suis sorti de ma réunion. Puis quand je t’ai vu dans ce bar, tu as éclairé ma journée. Et en te voyant dans mon bureau, j’étais perplexe et un peu énervé. Mais je me suis rendu compte que c’était le stress qui me faisait régir de la sorte, et non tes compétences professionnelles. Et je voulais m’excuser, pour cela.

   Nicolas et moi ne sommes que séparés de quelques centimètres. Le rouge nous monte aux joues mais, avant de faire une bêtise, je détourne le regard et me dirige vers la cave à vin.

- Je ne t’en veux pas. Il faut dire que j’aurais régi de la même façon je pense. Un peu de vin blanc ?

   Nicolas acquiesce, déçu de la fin de cet échange. Je m’acharne à ouvrir la bouteille, sers deux verres, puis reviens vers le canapé. Titan est endormi sur son panier, un léger ronflement sort de ses babines.

- Je ne voulais surtout pas que tu te méprenne et que tu me prennes pour.. eh bien, disons le salopard de service, dit-il en saisissant son vin. Je ne suis pas non plus un manipulateur.

- Pas comme Nathalie…

Ces mots m’étaient sortis comme ça, une pensée fugace. Nicolas penche la tête sur le côté et ne fais que soupirer.

- Comme tu dis. Nathalie n’a jamais apprécié mes collaboratrices, ni même les hommes. Elle doit croire que je pourrais être attiré par les hommes autant que par les femmes ; elle a déjà réussi à faire changer de postes trois de mes collaborateurs, des deux sexes. Elle est juste très attachée à moi, comme une mère. À moins que cela n’aille plus loin, mais je ne me focalise pas là-dessus. Tout ce que je veux d’elle, c’est un travail exemplaire. Tout comme le tien. Tes notes étaient parfaites, cela nous aidera beaucoup pour l’organisation de la réception.

   Je le remercie et prends une grande gorgée de vin, pour me calmer. j’ai encore en tête le ton cassant que Nathalie a pris devant moi. Elle faisait comme si j’étais une domestique. Cela m’insupportais toujours quand mon père prenait ce ton avec ses employés.

- Au moins, on sait qu’elle ne te trahira pas pour cette présentation. Elle tient beaucoup trop à toi pour gâcher ta soirée de signature.

   Nicolas tourna la tête vers moi et sourit. Nous buvons notre verre de vin en parlant de nos vies respectives. Une fois nos verres finis, je me lance sur le contrat qui m’intéresse le plus.

Bonne année à tous !

Bonjour à toutes et à tous.

Après ce long moment d'absence, dû à des problèmes au niveau des cours, les examens qui approchent et une démotivation face à certains comportements (ne vous en faites pas, je commence à me relever), je voulais vous souhaiter à toutes et à tous une bonne et heureuse années 2017.

Bonne année 2017 à toutes et à tous !

Que cette année vous apporte la joie, le bonheur, la réussite et l'amour. Je vous souhaite aussi de ne pas connaître la peine, de trouver l'âme sœur si vous êtes seul, de vous faire de nouveaux amis, d'en laisser tomber si ce ne sont pas des vrais.
Je voudrais aussi qu'on parle d'un sujet qui fâche en début d'année : les bonnes résolutions.

Faire du sport, maigrir, obtenir son permis, avoir ses examens, se marier, réussir dans la vie... Quelles sont vos résolutions ? Qu'est-ce qui vous donne envie d'avancer en 2017 ?

Pour ma part, je souhaite (comme une bonne partie des femmes) maigrir un peu (ça fait 24 ans que je le souhaite, je n'ai pas encore réussie !), réussir mes examens (ça serait dommage de doubler une nouvelle fois !) et enfin, la dernière résolutions vous concerne à vous mes lecteurs, je vais poster tous les deux jours.

Pourquoi tous les deux jours ? Parce que j'ai du temps à rattraper, et que je veux pouvoir écrire à un rythme fréquent : comme me l'a conseillée une lectrice, pourquoi ne pas soumettre un ou mes projets à un comité de lecture. Si vous avez des pistes sur ce sujet, je suis preneuse.
De plus, j'ai appris avec retard l'existence de certains concours d'écriture et je voudrais me lancer dans ces derniers l'an prochain (notamment le Nanowrimo).

Dans tous les cas, je vous souhaite une agréable année 2017, et je vous retrouve ce soir pour une suite (ne vous en faites pas, je vous ferais un petit résumé, comme ça fait longtemps).

Bisous à tous

L'envie d'écrire

dimanche 13 novembre 2016

Analyse : Inferno, version film et livre

Bonsoir à toutes et à tous.
Je vous retrouve ce soir pour une nouvelle analyse : Inferno, livre de Dan Brown et film qui est sorti mercredi et que j'ai vu hier.

Oui je sais, je vous avez promis que je vous ferai l'analyse des autres livres de Dan Brown. Je n'ai vraiment pas eu le temps, j'en suis désolée.

Donc voici mon analyse du film tiré du livre de Dan Brown, Inferno.

Affiche du film
Couverture du livre


Le film est sorti mercredi. Parmi les acteurs, on retrouve Tom Hanks dans le rôle du Professeur Langdon et Omar Sy, dans le rôle d'un agent de l'OMS.

Donc, en parlant d'OMS, l'intrigue se déroule autour d'un virus, Inferno. Un milliardaire aux idées bien arrêtées, Zobrist, décide, suite à ses études, de créer un virus mortel qui réduira 95% de la population. Car, et ses études le prouvent, tous les maux de la planète sont dus à la surpopulation.
Sa phrase fétiche : il est minuit moins une, en référence à une expérience mathématique qui dit que si une bactérie se reproduit à un certain rythme, elle remplira un demi litre de liquide en 11h59 (d'où minuit moins une!).

Le film est le livre sont placés sous le signe du temps : combien de temps avant que le virus Inferno ne soit lâché dans les canalisations afin de contaminer le monde. Car, en moins de six jours, toute la population serait infectée.

Cet homme, un peu fou, est décédé trois jours avant de libérer son poison. Robert Langdon, professeur de symbologie à Harvard et spécialiste de Dante, est donc réclamé par l'OMS pour retrouver et éliminer la menace que représente ce virus.

Pourquoi Dante ? Car c'est lui qui a écrit le cycle Inferno, l'enfer traduit de l'italien. C'est une série de trois livres en vers où Dante Alighieri raconte le périple de son personnage dans les trois lieux de la religion chrétienne : l'enfer, le purgatoire et le paradis. Dante explique tous les cercles de l'enfer, c'est lui qui a créer le modèle des cercles que nous connaissons aujourd'hui. Et le peintre Boticelli a illustré les cercles de Dante. On retrouve les fornicateurs, les voleurs, les menteurs et autres pécheurs et pécheresse.



Botticelli, cercles de l'enfer


Cercles de l'enfer, en français et simplifié


On retrouve donc une intrigue, une course contre la montre ou il ne faut pas se fier aux amitiés, et connaissances car tout n'est qu'illusion.

Mon avis sur le film : film franchement bien. Un peu déçue par la reprise musicale des thèmes majeurs du Da Vinci Code (notamment le thème principal). Omar Sy est une bonne surprise car, comme d'habitude, il fait sa doublure en français mais aussi car on a pas l'habitude de le voir dans un rôle aussi important (un membre éminent de l'OMS, c'est pas rien).
Petite déception, la fin : une incohérence totale entre la fin du livre et la fin du film. J'ai été vraiment déçue car j'aurais aimé voir la vraie fin, plutôt apocalyptique mais réaliste du livre.

Mais en résumé, le film est une vraie visite de Florence, Venise et d'Istanbul : on retrouve tous les sites touristiques majeurs, des informations historiques et anecdotiques sur l'histoire de grands monuments au travers du film.

Je recommande donc ce film, le livre lui aussi quoi que j'ai une petite préférence pour le livre.

Auteur d'Envie d'écrire

lundi 7 novembre 2016

Extrait numéro 4

Bonsoir à toutes et à tous.
Une nouvelle fois, je voulais m'excuser pour le temps sans publications. J'avais plein de choses à faire.
Donc voici un nouvel extrait, plus long parce que je vous ai fait attendre.
Enjoy !

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   Une impression étrange me gagne quand je rentre dans le bâtiment le lendemain matin. Le service de sécurité avait eu le temps de faire mon badge, pour pouvoir accéder aux étages, mais cette nomination me laissait un goût de piston au travers de la gorge.
   Je ne me laisse cependant pas démonter et je me dirige vers le bureau de la réceptionniste.

     - Bonjour, je m'appelle Sophie Dubreuille. Je dois commencer aujourd'hui, mais je ne sais pas encore où me rendre...

   Je laisse ma question en suspens. La réceptionniste, évidemment pas la même que la veille, me jauge et finit par me montrer un panneau derrière son bureau.

      - Troisième étage, pour le secteur Asie. Allez directement dans le bureau de votre chef de service, directement à gauche en sortant de l'ascenseur. Vous avez votre badge ? Me demande-t-elle hautainement.
   
   Je lui montre mon badge, la remercie et me dirige vers les ascenseurs. Pas très aimable, cette femme. L'ascenseur arrive rapidement, vide à l'exception d'une personne.
   Nicolas se tient dans le fond de la cabine, obnubilé par sa tablette. Je pense rentrer dans la cabine et ne rien lui dire, mais au moment où les portes se referment sur nous, ce dernier lève la tête de sa surface de travail.
     
     - Tiens, bonjour Sophie. Avez-vous passé une bonne soirée ? Vous avez dû fêter ce nouvel emploi non ?

     - Bonjour Monsieur. Je ne l'ai pas fêter. Je n'ai pas vraiment d'amis sur Paris, seulement des “connaissances” contractuelles. D'anciens employeurs.
   
   Nicolas parut gêné.

     - Je suis désolé, je ne voulais pas vous mettre mal à l'aise. Que diriez-vous de venir boire un verre avec moi ce soir ? Pour fêter ce nouveau contrat.

   Boire un verre avec le patron ? Le premier soir en plus ? Mauvais plan...

     - Vous me voyez navrée, mais je dois refuser cette proposition. J'ai quelque chose d'autre de prévu ce soir.

   Cette pensée me fait grincer les dents : je dois me rendre à la salle de sport et donner un cours de danse à des étudiantes. Sans parler de m'occuper de mon chien, qui n'a plus l'habitude de se retrouver toute seule dans la journée.
   Nicolas semble peiné.

     - Très bien, je ne vous retiens pas pour ce soir. J'espère que vous accepterez un autre soir.

   Je hoche de la tête. Peut-être un autre soir, mais pas pour mon boulot.

   Après avoir pris contact avec ma chef de service, une certaine Nathalie qui m'a l'air sympathique, je me rend dans le bureau que l'on m'a assigné. Même s'il n'est situé qu'au troisième étage, ma baie vitrée peut se vanter d'avoir u beau panorama sur la ville de Paris : légèrement excentrée du centre ville, proche des bords de la Seine, on peut même apercevoir la Tour Eiffel de loin.
  Alors que je m'extasie encore devant le panorama, quelqu'un me tire de mes rêveries en toquant à la porte. C'est Nathalie qui entre directement.

     - Excuse moi de te déranger, Sophie c'est ça ? Nicolas nous attends en réunion, dans son bureau. Pour te mettre au courant du contrat en négociation et des modalité de ton emploi.

   Je la suis vers l'ascenseur. Pourquoi me faire monter dans son bureau pour en parler ? Nathalie m'a l'air assez compétente, je ne comprends pas pourquoi il ne lui laisse pas le soin de le faire elle-même.
   Une fois dans l'ascenseur, elle me fait part de ses interrogations elle aussi.

     - Je ne comprends pas pourquoi il nous réclame. Je pouvais très bien te dire les missions de ton contrat ainsi que les enjeux du contrat en négociation actuellement. Je ne vois pas pourquoi il veut nous voir.

   Elle paraît nerveuse. Un petit béguin pour le directeur ? Jamais je ne lui poserais la question, mais j'en mettrais ma main à couper.
   Une fois arrivée au sixième étage, nous passons devant la salle de réunion où j'ai été embauché et nous continuons le couloir jusqu'à arriver devant une grande porte noire. Nathalie prend le temps de se recoiffer légèrement avant de toquer à la porte. Que disais-je ? Un petit béguin ? Le petit s'est transformé en gros béguin. Une voix masculine nous demande d'entrer, ce que nous faisons promptement.
   Nicolas est assis à son bureau, les main croisées devant son visage, et nous regarde entrer. J'ai l'impression que Nathalie rayonne, alors que Nicolas n'a aucun regard pour elle.

     - Bonjour Nathalie. Je vous ai demandé de monter avec Mademoiselle Dubreuillle pour que nous lui expliquions son contrat, dans la forme et le fond j'entends. Je voulais aussi vous annoncer que vous participerez toutes les deux à la soirée de signature prévue dans moins de deux semaines avec les japonais.
   Nathalie s'est légèrement redressée avant de comprendre le véritable sens de cette invitation. Elle s'avance, d'un pas chaloupé vers le bureau du directeur.

     -Mais, Nicolas, je ne comprends pas : elle vient à peine d'arriver et tu lui donnes déjà la charge de charmer les japonais ? À moins que tu ne souhaites la recruter en tant que serveuse lors de la soirée.

   Elle se tourna vers moi et me regarda d'un air mauvais. Puis tourna la tête vers le directeur qui venait de l'interpeler.

     - Nathalie, dit-il, je ne voudrais pas vous blesser ou vous choquer, mais de part l'expérience personnelle et professionnelle de Mademoiselle Dubreuille, elle a clairement plus de compétences que vous sur ce dossier. Je vous demande juste de bien vous entendre, qu'elle puisse étudier le dossier, et qu'elle sache tout sur cette signature. Peut-êre que Mademoiselle Dubreuille aura des suggestions à nous faire quand à l'élaboration du dossier et du contrat (il me regarde furtivement et je comprends que mon sort en est jeté). Et j'espère aussi qu'elle pourra divertir les japonais dans leur langue, cela pourrait nous aider à conclure plus rapidement si nous n'engageons pas d'interprète pour le directeur, Monsieur Nisokuma.

   Nathalie semble énervée, je ne relève pas et continue de fixer mes chaussures. J'ai bien entendu tout ce que Nicolas a dit, mais je trouve qu'il y va un peu fort avec sa collaboratrice. Je ne pensais pas qu'il me donnerait des responsabilités pareilles. Je pense lui en toucher un mot, à l'occasion.

     - Je comprends bien Nicolas. Je suis désolée, je ne voulais pas paraître grossière. Peut-être que, en effet, Mademoiselle Dubreuille pourrait nous éclairer. Je pensais juste que tu ne pratiquais pas le favoritisme. Mais passons. Que veux-tu que je dise à ma nouvelle collaboratrice que tu ne lui aurais déjà annoncé ?

   Elle avait prononcé le mot “collaboratrice” d'une façon dédaigneuse. Toute sa tirade l'était. Nicolas n'y prit pas garde et tendit un dossier vers moi.

     - Je voudrais déjà qu'elle inspecte ce que nous avons prévu pour la réception. Je sais que le Japon est un pays de coutumes assez particulières. Il faudrait qu'elle vérifie qu'il n'y ait pas de fausse notes. Je veux un rapport dans deux heures. Ensuite, je veux qu'elle regarde en détail le contrat, qu'elle se fasse son idée afin de pouvoir argumenter en notre faveur lors de cette soirée. S'il y a le moindre soucis, Mademoiselle Dubreuille peut s'adresser à toi ou à moi. J'attends ce rapport dans deux heures.
Je suis contente de me lever, de le saluer et de quitter le bureau. Nathalie ne m'accompagne pas, elle a sans doute des remontrances à faire à son patron. Je ne pense pas qu'il appréciera, mais je retourne dans mon bureau faire ce rapport.

   Certaines choses sont à revoir, notamment les fleurs lors de la réception. Le code vestimentaire du personnel de l'hôtel est à valider et je pense qu'une note générale sur les bonnes manières ne serait pas inutile.
  Près d'une heure plus tard, j'ai terminé mes notes et espère que ce travail préliminaire servira à Nicolas. Je monte de nouveau les trois étages qui nous séparent, en prenant l'escalier cette fois-ci.
   Une fois dans le couloir, j'entends des voix venant du bureau. C'est Nathalie qui parle de sa “nouvelle collaboratrice”.

     - Je ne comprends pas ton raisonnement. Si tu voulais une employée qualifiée, il fallait passer par moi, pas par le service DRH. Je sais encore reconnaître les personnes qui ont du potentiel et je peux te dire que cette fille n'en a pas. Je suppose même que son CV est truqué, mais bien sûr tu n'as pas pensé à vérifier. Que crois-tu ? Que ses parents vivent vraiment aux USA, qu'elle a fait une excellente école de logistique et qu'elle est revenue en France alors qu'elle pouvait se trouver un emploi plus confortable aux États-Unis ? Je pense surtout que c'est encore une femme qui va faire couler la boîte, et toi tu ne vois rien car elle t'a charmé.

   Je n'entends pas la réponse de Nicolas. Mais, quelques secondes après, j'entends les talons de Nathalie venir vers la porte, je me précipite vers les portes de l'escalier et la laisse passer. Par chance, elle n'a même pas tourné le regard. Je me dirige de nouveau vers les grande portes du bureau et toque à la porte.
   Je rentre immédiatement, mon dossier à la main. Nicolas semble soulagé de me voir, même s'il reste encore inquiet. Je décide de lancer les hostilités.

     - Je ne pense pas que c'était une très bonne idée de me donner des responsabilités pareilles dès le premier jour, elle risque de très mal le prendre. Et une femme en colère peut être vraiment dangereuse quand elle le veut. Une femme en colère, et amoureuse en plus.

   Nicolas ne relève pas ma dernière phrase. Il se contente de se tourner vers son beau panorama.

     - Et que devrais-je faire ? La laisser te faire faire le café et les photocopies alors que tu es plus talentueuse qu'elle ? Je ne vais pas la laisser ruiner cette réception à cause de son orgueil. Je crois que tu es la meilleure personne pour ce projet. Certes, c'est un peu tôt, mais ça te permettra de voir comment nous fonctionnons. Tu as déjà préparé le compte rendu ? Qu'en as-tu pensé ?

   Changement de situation radical. Je m'assois et ouvre le dossier avant de commencer à énumérer.

     - D'abord, il faut revoir tout ce qui est fleur. Les fleurs sur les tables, c'est bien, mais éviter les bouquet de quatre fleurs. Le chiffre quatre se dit comme le mot mort, et même eux ne sont pas partisans de la mort. Ça pourrait nuire à ta réception. En ce qui concerne les tenues, du sobre avec costume pour les hommes et tenue de soirée sobre pour les femmes. Pas de tape à l’œil, ou de couleurs trop fluo. Il faut rester professionnel. Je sais que tu comptes sur moi pour leur parler dans leur langue, mais je t'ai fait une petite synthèse des formules de politesses à adopter et des comportements à éviter. Les poignées de mains, par exemple, sont à éviter. Demande lui, après un salut traditionnel, si tu peux lui serrer la main. Mais tout est dans la note que voici.
   
   Nicolas me prit la feuille et l'inspecta. Il parut satisfait et la mit près de son ordinateur portable.

     - Au fait, je voulais m'excuser pour Nathalie. Elle est un peu virulente dans ses propos. Je sais que c'est déstabilisant, mais je pense que vous arriverez à travailler ensemble. Tu n'es toujours pas libre ce soir ? Pour parler de notre contrat, je veux dire.

   Tout de suite il pique ma curiosité.

     - J'ai quelque chose à faire en début de soirée, mais on peut toujours se rejoindre pour 19h ? au pied de l'Arche de la Défense ? J'habite dans le quartier juste derrière.

     - Va pour 19h à la Défense alors, j'ai hâte.

   Ces dernières paroles scellent la fin de notre entretien. Je me lève et sors aussi rapidement que possible de son bureau.

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En attendant vos remarques et suggestions.
Auteur d'Envie d'écrire

jeudi 3 novembre 2016

Anges et démons, Dan Brown : analyse n°2 des livres de Dan Brown

Bonsoir à tous. Pardonnez pour ce grand moment sans nouvelles.

Je reviens donc vers vous pour vous parler du premier volet de la tétralogie du Professeur Langdon : Anges et Démons.

Alors oui c'est un peu compliqué de. Se repérer car c'est le premier livre...qui est deuxième en film. Mais tout va bien se passer, rassurez vous.

Un bref résumé : des scientifiques parviennent à produire de l'antimatière, une substance révolutionnaire et dangereuse. Malheureusement, le scientifique à l'origine de cette création se fait assassiner dans son laboratoire et une fiole contenant de l'antimatière est dérobée. Comble de tout, le Pape meurt (mystérieusement ou pas nul ne le sait) et doit donc être remplacé. Sauf qu'une secte vioeente, les fameux Illuminati, envoient cette vidéo au conclave : la vidéo représente la fiole pleine d'antimatière...et les quatre favoris au poste de Pape.

Le Vatican, désespéré, fait appel au professeur Langdon. S'en suit une course folle dans tout le Vatican. Le professeur n'a que peu de temps et peu d'indice mais sa nouvelle alliée, lq petite-fille du scientifique assassiné, l'aidera dans sa quête.

Quand je relis ce que je viens de marquer je me dit que c'est un peu du James Bond mystique pas vous ?

Sinon, ce livre je l'ai lu pour la première fois en Espagnol. Oui, oui je sais, un pari fou. Mais j'ai réussi et en moins de un mois.

L'action y est toujours aussi présente, mais j'avoue que cette fois-ci l'idée de me balader au Vatican avec Tom Hanks était tentant.

Un autre bon film, avec des fous à liés d'Illuminati, un professeur toujours aussi intelligent et de bonne réparties dans le film (comme celle sur les feuilles de vignes).

Oui car si certains se posent la question, voici la réponse : de nombreuses statues de l'ère gréco-romaine représentent des mâles dans toute leur virilité. Sauf que, au Vatican, cette virilité est cachée par une feuille de vigne en plâtre. Pourquoi ? Le professeur l'explique : un jour, un des Pape en a eu marre de voir tout ces attributs masculins à l'air libre. Aussi a-t-il décidé de master toutes les statues et de faire poser une feuille de vigne sur les "cicatrices". Plutôt marrant à mon avis.

D'ici samedi je vous posterai l'avis sur Forteresse Digitale.
Bonne soirée à tous.

Auteur d'Envie d'écrire